Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
I blog you
I blog you
Derniers commentaires
Archives
8 décembre 2007

Vous avez du courrier.

Ce n'est pas parce que je suis trop triste pour écrire que je vous abandonne...

Voici une perle, un article très brillant de Simon Davies, l’inventeur des Big Brother Awards, traduit en français par le site Les Insoumis.

Un copié-collé n'est pas coutume...



____________________
______________________________

Citoyens Français :

Comment vous sentiriez-vous si :

- vous deviez emprunter de 5 à 10 fois votre salaire annuel afin de pouvoir acquérir une maison ?
- vous deviez souscrire à une assurance-maladie privée hors de prix pour être sûrs de bénéficier de quelques soins médicaux ?
- les hôpitaux vous refusaient tout soin médical sans cette même assurance ?
- il n’y avait aucun filet social de sûreté, aucune assurance chômage pour vous-même, votre famille, et vos enfants ?
- vous deviez travailler entre 40 et 60 heures par semaine, avec seulement une semaine de vacances par an, et souvent uniquement après avoir travaillé un an ou deux ?
- vous deviez emprunter de l’argent chaque année juste pour alimenter votre famille et pour garder un toit au-dessus de leurs têtes ?
- vous deviez emprunter 100 000 euros pour payer une éducation universitaire à vos enfants ?
- vous aviez un découvert sur votre carte de crédit si grand que vous ne pourriez jamais le rembourser vous obligeant ainsi à travailler jusqu’à votre mort ?
- les Universités (financées par les entreprises) étaient obligées d’enseigner ce que ces entreprises décident et jugent qu’il est important ?
- toutes les infrastructures françaises et les richesses nationales étaient privatisées, au profit de quelques élites riches qui vous diraient ce que vous pouvez ou ne pouvez pas faire dans votre propre pays, et vous taxeraient sur les ressources naturelles qui sont actuellement la propriété de tous ?

Si vous pouvez imaginer comment serait la vie dans de telles circonstances, alors vous savez quelle est la vie aujourd’hui pour une majorité d’Américains. Les Américains pensent qu’il est normal de travailler 50 heures par semaine avec seulement une semaine de vacances par an. Il y a beaucoup d’histoires d’horreur à propos d’Américains sans assurance n’ayant pas accès aux hôpitaux. Le système d’éducation américain a eu comme conséquence un taux d’instruction de 50% et seuls les riches vont à l’université.

Les Américains croient qu’une telle vie - une vie basée sur l’argent que vous avez - est l’apogée de la liberté parce qu’ils ont été soumis à un lavage de cerveau leur faisant croire que l’argent fait l’homme. Voulez-vous la même chose pour la France ?

Vous ne me connaissez pas personnellement, mais, pour paraphraser une citation du film "V pour Vendetta", "Je suis Edmond Dantès... et je suis votre frère. Et votre mère... votre frère... votre ami. Je suis vous... et moi. Je suis nous tous."

Dans la vraie vie, je suis un ferme investisseur banquier avec une de vos plus grandes banques. Je suis diplômé en sciences économiques et j’ai passé la majeure partie de ma vie d’adulte à observer les fluctuations des capitaux internationaux et comment ils sont manipulés par les gouvernements et de grandes sociétés pour convenir à leur propre agenda. Je suis également rédacteur international sur SOTT.net parce que je le vois comme voix la plus claire de la Vérité sur l’Internet. Mais, assez parlé de moi. C’est à vous, c’est à la France, que je veux parler.

Beaucoup de citoyens français se rappellent comment la France a dormi par les années 30 tandis que l’Allemagne réarmait et faisait ses plans pour la domination européenne, les plans qui n’ont pas été cachés, mais fièrement annoncés par Hitler et ses Nazis, et pourtant la France a dormi et en a souffert les terrifiantes conséquences inévitables.

Peuple de France, votre Président - un représentant de la cabale de l’élite assoiffée de pouvoir global et de puissance financière - a annoncé ses plans clairement juste comme Hitler, et c’est vous qui dormez maintenant. Vous n’êtes pas envahis par une armée mais par des idées malveillantes et répugnantes propagées par vos chefs politiques et les médias. Le but est d’infecter vos esprits avec ces idées et de faire des français les architectes de leur propre destruction. Quand votre président parle de "rupture" avec le passé, ce qu’il veut dire par là c’est une rupture de la société française, la destruction de la façon de vivre française et votre vie ne sera nullement moins terrifiante qu’elle l’a été lors de l’invasion précédente par Hitler et ses hordes.

John Fitzgerald Kennedy a dit dans son célèbre discours :

"Nous sommes confrontés, de par le monde, à une conspiration monolithique et impitoyable qui se fonde principalement sur des moyens secrets d’augmenter sa sphère d’influence ; par l’infiltration plutôt que l’invasion ; par la subversion au lieu des élections, par l’intimidation plutôt que le choix libre ; avec des guérilleros la nuit plutôt qu’avec des armées le jour. C’est un système qui a enrôlé les vastes ressources humaines et matérielles dans un maillet serré, une machine hautement efficace qui combine opérations militaires, diplomatiques, d’intelligence, économiques, scientifiques, et politiques. Ses préparations sont cachées, pas publiées. Ses erreurs sont enterrées, pas mises en vedette, ses dissidents sont maintenus sous silence, ne peuvent s’exprimer tout haut ; aucune dépense n’est remise en cause, aucune rumeur n’est imprimée, aucun secret n’est indiqué. Elle conduit à la guerre froide, en bref, avec une discipline de temps de guerre aucune démocratie n’espérerait jamais souhaiter s’assortir..."

Votre ennemi est bien organisé, a des financements illimités, est global, impitoyable et a presque le contrôle total des médias. Votre ennemi est parmi vous et de plusieurs manières en vous, parce que vous avez été conditionnés pour penser de manière limitée. Votre ennemi projette de détruire vos structures sociales paternalistes avec le déclenchement de ce qu’on appelle modèle économique néo-libéral ; ou, comme la journaliste Naomi Klein l’appelle "le capitalisme du désatre" [Disaster Capitalism, voir : ici et ici].

Vous avez été amenés à croire que la France est d’une façon ou d’une autre, exempte des prédations de l’économie néo-libérale. En gros, ceci a été réalisé en vous maintenant ignorant de la vérité par l’intermédiaire de la barrière de la langue. Le monde d’expression anglaise est rempli d’avertissements sur ce qui signifie l’économie néo-libérale, pourtant la littérature disponible est limitée en France sur ces importants sujets. Pourquoi ? Comment se fait-il que vous en sachiez si peu sur ce qu’il se passe vraiment hors de France ?

M. Sarkozy essaie de manœuvrer cette ignorance, de stimuler un intérêt égoïste démesuré et une jalousie exagérée ce qui est un anathème à la psyché française. Bien que peu sont disposés à l’admettre, plusieurs des défenseurs de la bourgeoisie de M. Sarkozy sont motivés par la jalousie. Ils sont jaloux des avantages d’emploi dont bénéficient les fonctionnaires, et sont manipulés par M. Sarkozy pour qu’ils soutiennent sa politique qui dépouillerait les fonctionnaires de ces avantages. Ce que les bourgeoisies ne comprennent pas c’est qu’en supportant ce gouvernement maintenant, contre les classes ouvrières, elles se préparent elles-mêmes un sort semblable dans un proche avenir.

Ne nous y trompons pas, les seuls qui sortiront gagnants de la "rupture" de Sarkozy seront l’élite, les grandes sociétés internationales, ces vautours étrangers qui se serviront sur les carcasses de la France. La classe moyenne qui pour le moment soutient Sarkozy, perdra aussi son confort, seulement, elle ne le sait pas encore. Ils croient qu’à travers quelque miraculeux mécanisme, ils deviendront plus riches aux dépens de l’ouvrier ordinaire et que c’est "juste", "nécessaire" et "moderne". L’élite régnante peut permettre qu’une partie de la richesse de France soit "prêtée" aux bourgeoisies à court terme, et les bourgeoisies peuvent être achetées pour quelques euros, mais ce ne sera que passager et finalement illusoire. Croyez-moi, je le sais. La banque c’est mon métier. Aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, le mécanisme employé pour suborner les bourgeoisies était l’inflation de la propriété. Au cours de ces dernières années un boom massif des prix en propriété a été machiné pour fournir l’illusion de la richesse. Cependant, aujourd’hui, alors que les prix commencent à chuter, cette richesse disparaît tandis que la dette qui a été faite pour acquérir ces propriétés demeure bien réelle et de plus en plus onéreuse, et provoquera à la fin la mort des bourgeoisies dans ces pays.

Mr Sarkozy est un homme intelligent et impitoyable. Il sait qu’il ne peut pas persuader la France d’accepter le néo-libéralisme, ni dans l’absolu directement le fascisme. Il se doit de manipuler la France jusqu’à une position où ça deviendrait "un fait accompli". Comment cette manipulation va-t-elle s’opérer ?

C’est ce dont il était question juste avant le commencement des récentes grèves françaises dans les discussions des éditeurs de SOTT. Nous avons réalisé que la même situation s’est produite au Royaume-Uni quand Margaret Thatcher est arrivée au pouvoir en 1979 "promettant un programme non ambigü destiné à réduire la puissance et l’influence des syndicats", et avec des plans soigneusement formulés d’une "rupture" du pouvoir de la classe ouvrière britannique. Nous avons supposé que des tactiques similaires pourraient être utilisées en France. Et, étant donné que je travaille dans le secteur bancaire, on m’a demandé de faire des recherches sur votre situation, peuple de France, et l’alternative pour votre avenir.

La clef du succès de Margaret Thatcher’s dans sa "rupture" au Royaume-Uni et l’instauration du néolibéralisme est due à une préparation sur long terme :

- Des augmentations massives du chômage, en particulier parmi des minorités raciales, ont été machinées tandis que le gouvernement manoeuvrait les statistiques du chômage. En conséquence il y avait une éruption des émeutes principales dans les secteurs les plus faibles de centre urbain.

- Les tactiques de police qui furent calibrées toutes ces années dans le nord de l’Irlande ont été dévoilées à la face du public ; les années de fausses attaques du drapeau en Irlande avaient conditionné l’esprit public au besoin d’une police militariste massive et violente pour "défendre la loi et l’ordre".

- Des chefs de syndicats ont été mis en place dont le comportement ne pouvait qu’être décrit comme "lâche", affaiblissant de ce fait l’unité parmi les syndicats.

- Des grèves dans les industries avec les syndicats les plus forts ont été délibérément produites par la provocation. Une "guerre d’usure" était combattue par des attaques dispersées du gouvernement sur une base fragmentaire. Aucune de ces dernières n’étaient assez graves pour que les travailleurs syndiqués de base se rendent compte qu’elles étaient installées pour une confrontation importante à l’avenir.

- De nouvelles lois, limitant les droits de grève des travailleurs ont été introduites quand les syndicats sortirent vainqueurs. Ainsi, le gouvernement a sondé avec succès son ennemi, a observé ses réactions, et a essentiellement rendu ses réactions illégales, enlevant la capacité aux ouvriers d’exercer leurs droits et neutralisant leur puissance.

Finalement, Thatcher était prête pour la bataille finale. Son gouvernement a été réélu sur le dos de l’euphorisme national produit par la guerre des Malouines et ses stratèges étaient prêts pour tous hors du conflit avec les syndicats et les classes ouvrières. La faiblesse des syndicats et les nouvelles lois qui empêchent de faire grève sans un vote majoritaire dans un vote des syndicats, a donné au gouvernement la résolution et l’appui public nécessaires pour prendre finalement l’industrie la plus vulnérable dans le pays, les mineurs.

La similitude avec la France est trop grande pour qu’on l’ignore. Le travail du terrain a été effectué de manières semblables. Tout comme Thatcher en 1982, Sarkozy est au commencement d’une nouvelle ère et il réclame un mandat populaire. Margaret Thatcher a dit "Il n’y a pas d’alternative" et "The Lady ne fléchit pas", Sarkozy lui a dit "Nous ne nous rendrons pas et nous ne nous retirerons pas... La France a besoin de réformes pour faire face aux challenges que le monde impose".

Supposons que Sarkozy n’ait pas seulement tirés ses enseignement des Britanniques, mais aussi de toutes les confrontations des travailleurs de tous pays ; il y a deux semaines nous avons spéculé ceci :

1/ Sarkozy cherchera à placer l’ordre du jour et à s’assurer que les médias concentrent une attention publique sur la réforme où les syndicats auront la sympathie publique la plus faible et la moins probable.

2/ Dans le but de marginaliser par la suite les travailleurs dans l’esprit du public, des évènements violents vont se produire, suite d’une manipulation, afin d’aliéner les grévistes au vu des "gens normaux". Les médias détourneront ce dont ils traitent de toute leur proportion concernant les événements impliqués.

3/ Les chefs des syndicats sembleront être gelés comme des lapins dans des phares tandis que les médias se concentreront sur le "mal" perpétré par ces événements sur l’industrie.

4/ 1, 2 et 3 ensemble causeront un dédoublement dans l’opposition aux réformes - ce sera mis en éxergue par les médias quand en toute probabilité le "dédoublement" serait un détail bien plus qu’un principe fini. Ce sur quoi les médias se focaliseront sera l’opposition entre les grévistes, et ceux qui veulent travailler.

5/ Les ministres gouvernementaux auront tout l’espace et le temps nécessaire pour apparaître dans les médias et critiquer les grévistes pour leur "égoïsme" ou leur "manque de responsabilité sociale". Les grévistes seront accusés de "menacer la grandeur de la France", "de refuser de se moderniser", "mettre les vies en danger", "de tenir le pays en otage" et de "causer un chaos économique".

6/ La violence s’enflammant sera les points clés du contact entre les grévistes et ceux s’opposant officiellement aux grèves. Dans tous les cas ce sera les grévistes qui seront blamés. La police sera amenée à "supprimer la violence" alors qu’en fait elle l’accentue.

7/ Dans les quartiers populaires des évènement seront mis en scène pour générer des réponses violentes de la part de la "masse", et conditionneront donc le public pour qu’il ait besoin de la police et des CRS "pour défendre la France".

8/ Les termes des négociations entre le gouvernement et les syndicats seront gardés secrets ou simplement on refusera de les dévoiler au public. Les vraies solutions seront si désavantageuses pour les ouvriers qu’ils ne pourront pas les accepter, pendant ce temps on focalise l’esprit public sur une "impossibilité de résoudre le problème" et on en recueille la petite sympathie. Les travailleurs se remettront en grève et descendront dans la rue.

9/ A ce niveau la violence éclatera sur les piquets de grève et les CRS seront envoyés contre les grévistes. Des petits groupes de grévistes seront montrés comme étant très violents. Ces individus (probablement des agents provocateurs) seront utilisés pour discréditer l’ensemble du mouvement travailleur et on demandera aux chefs syndicaux de prendre de s’écarter de cette violence, remettant de ce fait la victoire de Sarkozy dans l’arène de l’esprit public et dans les esprits des ouvriers modérés.

Les évènements des deux dernières semaines prouvent que nous avons raison. La stratégie de Nicolas Sarkozy a suivi nos spéculations à la lettre, mais ce n’est que le commencement.

On a permis à Sarkozy de placer l’ordre du jour de la réforme des retraites. La disposition pour la retraite anticipée pour les ouvriers dans les travaux laborieux tels que les chemins de fer était juste quand le travail était plus dur mais est maintenant largement acceptée comme étant périmée. Aisément le sabotage mis en scène a divisé l’opinion publique et les syndicats, les chefs syndicaux ont gelé et rompu les rangs vendredi dernier sous le feu des médias que le "sabotage" a généré. La violence a éclaté dans les Universités, et, il y a cinq nuits, 3 jeunes sont tués dans un "accident" (NDLR:l’auteur fait référence à l’accident de Villiers Le Bel où 2 jeunes et non 3 ont été tués) avec la police, et les prévisibles "émeutes" s’en sont suivies pour trois nuits. Tout concordant avec le plan !

Il est essentiel que tout le monde comprenne en France que les récentes grèves ne portent pas sur si les cheminots auront une pension particulière ou non. Ces grèves sont la lame du couteau de l’économie néo-libérale portée dans l’âme de la France socialiste.

Pourtant il semble que la France s’est à nouveau endormie et inconsciente des dangers. La France a été piégé dans l’idée que le problème est la réforme des pensions. Un coup d’oeil à la place relative donnée dans les médias aux grèves de la SNCF et du Metro montrent l’étendue du contrôle de M. Sarkozy. Car, si une partie de la grève de cheminots portait sur les pensions, de nombreux autres travailleurs/employés sont opposés à des "réformes" qui illustrent bien mieux la vraie nature de ’l’agenda’ de Sarkozy.

En permettant à M. Sarkozy et aux médias de se concentrer principalement sur la réforme des pensions, les syndicats ont offert à M. Sarkozy un avantage massif. En faisant marche arrière sur le point crucial grâce auquel les français commençaient à voir la valeur des droits des travailleurs dont beaucoup de personnes semblent heureux de détruire, les syndicats leur ont donné la victoire et ont divisé la précédente unité de l’opposition.

M. Sarkozy est une brute qui a établi catégoriquement qu’il n’a pas à écouter à la volonté du peuple. C’est la façon dont Tony Blair a traité les anglais et la façon dont George W. Bush a traité les américains.

Est-ce cela que vous voulez pour la France ?

Il est douloureux pour beaucoup d’entre nous qui ont largement applaudi lorsque le très peu aimé Jacques Chirac lorsqu’il a mis son nez chez les américains et a dit "Non !" à l’invasion illégale de l’Irak de voir ce qu’il arrive en France ; il est en fait troublant de réaliser que M. Sarkozy reçoit toute sorte de soutien. Il est certainement évident que les Etats-Unis s’effondrent, le système financier mondial se tient au bord du chaos et le modèle économique néo-libéral a été dévoilé comme n’étant rien d’autre qu’une version moderne du pillage et de ’l’écumage’ du sombre passé. Donc est-ce que M. Sarkozy a-t-il perdu la raison ? Ou a-t-il un ’agenda’ pour trainer la France dans la ’fosse aux chiens’ [ou panier de crabes] avec le reste du Capitalisme Désastreux ?

En dépit de ce que M. Sarkozy pourrait déclarer, basé sur mes interactions avec les citoyens français, le peuple de France n’accepte pas le bélicisme hégémonique global des USA et ne veulent pas du Cauchemar Américain en France.

Plus que jamais dans toute son histoire, le peuple de France doit se lever pour "Liberté, Egalité et Fraternité". Ne faites pas d’erreur, c’est une guerre pour la liberté de la France - une guerre secrète des volontés - qui doit être menée avec réflexion. Mais par-dessus tout, vous devez résister avec vos cœurs, vos voix et tous vos corps, car tout est mis en place pour vous diviser. Unis vous serez debout, divisés vous tomberez.

Article original :Sott.net

Traduction par keïKo et SupaHumandignity pour lesinsoumis.org

Complété (trad. dernière partie) par Jsf

______________________________
_________________


Suivez les liens... de bonnes lectures pour les longues soirées d’hiver… histoire de frissonner encore un peu plus !

Publicité
Publicité
Commentaires
S
tres amusant de lire cet article et ces commentaires plus d'unan après. Heureusement que Docteur Peuplu a poste le sien, car franchement quel tissus de sornettes. Le grand soir n'est pas arrivé, e comparer Sarkozy a Hiler il faut quand meme oser le faire, a croire que Myrtille est un sous marin pro Sarkozy ou pro UMP. En tout cas, a part les convaincus, qui a pu avoir les yeux decillés par ce papier??
Répondre
P
Tout ça arrive parce que Benoît XVI n'est pas assez écouté, et si tout le monde portait des fringues sexy comme lui le monde irait mieux, voilà.
Répondre
T
"Grown men do not need leader" Les hommes adultes n'ont pas besoin de leader; William Blake
Répondre
G
je cite Dr Peuplu "si ses "idées répugnantes" de Sarkozy étaient si évidentes, on n'aurait pas besoin de toutes ces explications "<br /> <br /> ben justement, il le dit comme un programme et si on ne dit rien d'autre ou de différent, pour les gens c'est qu'il n'y a plus rien à faire pour lutter contre, pour éviter que ça n'arrive. Comme une prophétie.<br /> Mais c'est oublier tout le travail qui se fait dans la société civile, les associations.<br /> Alors donnons (beaucoup) voix à ça aussi, ça évitera que les alternatifs ne mettent leur énergie qu'à Réagir contre ce qui est dit au lieu de se mobiliser pour leurs propres idées... et les nôtres
Répondre
M
Il n'est pire sourd que celui qui ne veut pas voir.<br /> Et que peut-on répondre à celui qui "n'a pas lu parce que c'est trop incroyable" ?<br /> Ben... il y avait des alternatives au néolibéralisme, la dernière fois qu'on nous a demandé notre avis.<br /> ...lire, s'informer... mais il ne semble pas que vous en ayez envie.
Répondre
Publicité
Publicité