8 octobre 2005
Le poème du dimanche
TOUT FAIT PLEURER
On s'est départagés dans un silence de soupirs
chacun retourne au savoir sous la peau
à l'absence de tous les jours
enfant puni jusqu'à la prochaine fois
toi souriant loin de moi
quant à moi
un ange passe qui me mélange
à la vague envie de pleurer
nos jus sentent la mer on est presque à Venise
un soir d'octobre comme aujourd'hui
la voix dans la voix de Baffo qui regrette
tutto fá da pianzer fuorché l'andar in mona
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