Ayé, j’ai
bien fêté le solstice d’hiver, avec les sacrifices rituels d’oiseaux, d'animaux marins et de
promiscuité , je me suis farci le chapon et les commentaires insidieux, le
bilan est excellent : on n’a rien cassé, il n’y a eu aucun blessé grave et
les pleurs ont été remis au lendemain.
J’ai été parfaitement tranquille pour tout préparer toute seule, d’une seule main, vu que je
m’étais brûlé l’autre la veille (avez-vous déjà essayé de vous servir un bol de
soupe, sans le bol ? Oui, je suis troublée), et que la marinade de Biafine
pour cuisiner, c’est pas top, et que les autres participants à la teuf étaient
qui au coiffeur, qui chez leur papa.
On n’a pas
pu attendre minuit pour les cadeaux, car 1/5 des convives était attendu
ailleurs, il y eut donc ouverture précoce des paquets sub-normanniens. Il y
avait même des trucs pour moi, dites donc ! Un livre, un cahier et de la
crème antirides, comme je sais lire, écrire et que j’ai des rides, je suis
super-contente.
Vivement la
suite, euh... on en est où, là ? Saint Valentin, non ?
Voilà,
vivement la Saint valentin, tiens!
Ah mais d’abord,
faut finir les restes, normalement en une petite semaine on doit y arriver.
(Chais pas
vous, mais moi, ce sera le dernier chapon que j’achète. Ou alors, il faut que
je me dégotte une famille nombreuse...)
Une petite
citation amusante de la soirée : « Hé bien, ma pauvre chérie, ça t’en
fait de la vaisselle, dis donc ! Avec ta main brûlée, tu devrais mettre
des gants. Allez, je monte me coucher, je suis un peu lasse. » ... (Mais oui,
moi aussi je t’aime, maman.)